L'art du carnet de voyage et de l'aquarelle au service du peintre voyageur : ce blog en explique les différentes facettes inspiratrices, techniques et créatives à travers une vie d'aquarelliste . Il vous convie à partir en voyage pictural . C'est donc le journal d'un peintre qui aime découvrir et partager, mais pas seulement ...
Présentation
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Aquarelliste et peintre voyageur
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En peinture, l'art de l'aquarelle est un mode d'expression qui va des carnets de voyages à la création de tableaux : en voici les différentes facettes inspiratrices, techniques et créatives selon Alain MARC ...
(pour les tarifs et disponibilités me les demander directement en cliquant ici)
- Les stages "aquarelle" dans l'Hexagone sont ouverts aux débutants et aux pratiquants déjà confirmés souhaitant se perfectionner : ils ont pour but d'apporter efficacité et aisance d'expression à l'aquarelliste de terrain. Nombreux sont les aquarellistes issus de mes stages ou passés s'y perfectionner depuis 4 décennies...
- Les stages"carnets de voyages" sont une véritable immersion dans la pratiquedu carnet de voyage et de l'aquarellesur le terrain, orientés "autonomie" ils sont ouverts aux stagiaires ayant assez de pratique pour en profiter pleinement. De la Provence au Jura Orientalet jusqu'au Portugal,ce sont quelques destinations où vous pourrez aller en 2020...
- Tous les stages sont différents, n'hésitez pas à m'en demander les informations par courriel (voir plus haut) .
«Andalousie, la Route d’Alain MARC», carnet de voyage de Pierre NAVA Découvrez article après article en cliquant sur les vignettes ci-dessous le carnet spontané de Pierre m’accompagnant en Andalousie, et les «Petites Histoires vidéo» qu’il m’a inspirées :
Je vous l'ai dit lors de mon précédent article « ...vous me retrouverez ailleurs »...
Alors, pour lire la suite de mon dernier billet, rendez-voussur mon blog : vous y découvrirez une revue de pratique, d'informations, et de reportages artistiques avec un article bien sympa !
Avant tout, je voulais vous remercier pour le grand nombre de commentaires publics et de messages privés si enthousiastes, que vous m’avez envoyés suite à la publication de mon dernier billet de blogue « La mutation carnettiste, 1er épisode : le voyage intemporel ».
Á présent, voici le deuxième épisode :
- Pourquoi vous ne me verrez plus aux « Rendez-vous des carnets de voyage » de Clermont-Ferrand ?
Ce qui compte, ce n’est pas l’apparence des choses, mais ce qu’elles cachent, ce qu’elles protègent comme un trésor, qui est fragile, presque insaisissable, un secret qu’on ne transmet qu’aux êtres de confiance pour mieux le sublimer.
Regardez ce paysage de neige : imaginez que la page s’anime, et qu’en un instant, vous soyez plongé (e) dans un espace-temps différent...
Alors, si vous pensez que cette démarche est digne d’intérêt et que ses résultats méritent d’être plus largement partagés, dites-le-moi, dites-moi ce que vous en pensez, vous comprendrez dans le prochain billet pourquoi votre avis est si important pour moi ?
Pour un voyage en montagne, et un retour sur nos valeurs à protéger...
"La question que je me pose, aujourd’hui, dans ce monde où les mots ne veulent plus dire la même chose, où les images se perdent dans la multitude des apparences et du paraître au détriment de l’être, je la repose par ces photos, et des aquarelles que je peignais quand tu es parti, en souhaitant te rendre hommage à toi, Jean-Sébastien, notre fils, à travers ces quelques mots..."
Pour lire la suite de l'article sur mon blog principal, il vous suffit de cliquer ici, ou sur la photo ci-dessus.
Le voici publié, il vous suffit de cliquer sur le lien ci-dessous pour l'ouvrir dans mon blog principal : Françoise ROBERT, après celui d'Alentejo, partage avec vous son carnet de voyage aquarelle réalisé lors du dernier stage que j'ai eu le plaisir d'animer en Aragon en septembre dernier !
Cliquez sur l'image ci-dessus pour ouvrir dans une nouvelle page le carnet de voyage de Françoise ROBERT !
Si l’on considère l’origine étymologique du mot « sculpture » qui vient du latin « sculpere », on pense aussitôt au dépouillement du bloc initial (de pierre, de glaise), pour laisser paraître ce qui, d’ébauche va devenir œuvre, matière transmutée sous les mains et par la pensée de l’artiste, pour prendre corps, et par la forme, le volume, l’occupation de l’espace, s’animer de la puissance invisible de sa propre vie, défiant le temps en survivant à son créateur.
C’est comme si l’esprit de son identité particulière, qu’elle soit de bois, d’albâtre, de marbre, d’acier, de verre, ou de tout autre matériau, la projetait dans l’intemporalité d’une existence en apparence figée, mais pourtant si vivante par l’émotion qu’elle provoque chez celle ou celui qui « voit » en elle le mystère envoûtant que le sculpteur a su lui insuffler.
- Alors, essayer de définir ce qui se cache derrière la beauté sublimée de la matière, n’est-ce pas percevoir déjà ce que l’on pourrait considérer comme le reflet d’une âme ?
C’est ainsi que je ne peux détacher de ma pensée les œuvres occupant l’espace de ma mémoire, comme celles qui frappèrent mon enfance, telle la « Victoire de Samothrace» en haut de son grand escalier, ou « la Vénus de Milo », que je découvrais accompagné par mon père au Musée du Louvre, ou bien plus tard, lorsque je pris conscience de l’héritage qu’il nous léguait à travers son propre univers fait de fer et du feu de sa forge, lorsqu’il donnait à ses personnages toute l’humanité qui allait en son temps porter son message très loin du petit village où il vivait.
Depuis ces instants précieux, au cœur même de la nature, lorsque celle-ci nous offre quelque racine décharnée, une roche remarquable modelée par les millénaires et les intempéries, un arbre tourmenté à la forme singulière, un bois flotté poli par les vagues sur les galets, je ne peux m’empêcherd’établir un parallèle entre l’étonnante beauté de la nature dont un élément s’empare de l’espace comme une sculpture, et l’œuvre née des mains d’un artiste génial, sous ses coups de marteau, l’emprise du burin, sa persévérance, son talent et ses ciseaux...
Car ce qui les réunit, par-delà leurs si différentes sources, c’est la puissance de la vie et le mystère de la création : l’une naturelle, fruit du hasard et de l’écoulement du temps qui a modelé ses éléments sans une conscience particulière qui nous soit perceptible, l’autre née de la réflexion, de la volonté, et de la virtuosité humaine, fruit du génie d’un être conscient de son propre amoindrissement, nous livrant une œuvre apte à prolonger sa pensée et à l’éterniser dans la matière qu’il a transformée.
Cette dernière forme de création se distinguant de celles livrées par la nature à cause de son fondement spécifiquement humain(que l’on perçoive ou nonla présence d’une âme en ses réalisations), c’est la force de la pensée d’un artiste qui en est l’origine, qui donne tout son sens à la beauté des œuvres d’art !
Ce pourrait être une sculpture née de l’imagination débordante de quelque créateur contemporain, mais ce sont des concrétions d’aragonite blanche de la rivière souterraine de Malaval, qui dorment au fond de cette magnifique grotte depuis la nuit des temps (avec l’aimable autorisation du propriétaire de la cavité).
C’était sur mon stand à Lourmarin, avec un totem en techniques mixtes inspiré par Rejean (le sympathique indien naskapi rencontré lors de mon voyage au Québec). Cette peinture sera bientôt en perception mixte (passionnante technique dont je vous reparlerai plus tard). Pour l’instant, elle se « contente » de changer de couleur suivant la lumière et selon l’emplacement d’où on la voit, ce qui n’est déjà pas si mal comme premier résultat dans le champ de mes recherches .
Je reviendrai plus tard sur ces travaux qui modifieront complètement notre rapport à l’art (et pas seulement) à l’avenir, sachez pour l’instant qu’ils me prennent tout mon temps, d’où la raison du peu de nouvelles que je vous donne...
La curiosité suscitée par mes recherches provoquait aussi parfois un embouteillage dans l’allée, conséquence bien logique de l’engouement du public pour cette nouvelle dimension apportée aussi bien à la peinture qu’au support papier, mais revenons aux carnets de voyage aquarelle à présent :
«Entre littoral et Corbières» Alain MARC - Carnet 21 x 29,7 cm papier grain fin 280 gr
Aujourd'hui, Lourmarin est déjà loin et je vous invite à vous projetter maintenant avec moi dans les magnifiques paysages de la côte Vermeille, en pays catalan et châteaux cathares où nous serons en stage quelques jours après celui de Provence qui aura lieu très bientôt. Regardez bien ci-dessous la courte vidéo que j’ai réalisée spécialement pour vous : elle devrait vous donner envie de vous évader du 23 au 29 juin prochain, et de venir me rejoindre avec le groupe du stage d’aquarelle de voyage « Aquarelle en pays catalan et châteaux cathares » que j’aurai le plaisir d’animer à partir d’une super résidence de vacances du sud de Perpignan.
Alors, si l’aventure vous tente écrivez-moi vite pour m’en demander les renseignements, il ne m’y reste que 2 ou 3 places, peut-être l’une d’entre elles est pour vous ?
C'est avec plaisir que je vous retrouve après mille aventures picturales, aquarellées (et davantage si vous me suivez, souvenez-vous de "La parabole de Liaucous") !
En ce début d'avril, parce que nous sortons de l’hiver pour nous projeter dans le printemps, voici un dernier regard vers de merveilleux paysages enneigés et de super moments partagés, avec un petit résumé des stages « Aquarelle et ambiances de neige » qui viennent de se terminer en Jura oriental.
Vous le découvrirez avec d'autres aquarelles et une petite vidéo de 2 minutes seulement, dans le dernier billet de mon blog principal, le journal de mon site https://alain-marc.fr (inscrivez-vous à sa newsletter en bas de page, vous recevrez les futurs billets en entier au moment même de leur parution !).
J'en profite aussi pour vous dire "à bientôt" pour notre prochaine rencontre au festival de Lourmain et lors des futures destinations du printemps et de l'été, sans compter toutes les autres surprises que je vous ai préparées, et que vous découvrirez avec les billets à venir de mon site principal !
Alain MARC
C’est le tire que j’ai donné à la courte vidéo du 4e épisode de « La parabole de Liaucous », que vous trouverez en bas de l’article au même intitulé.
Si la vidéo (que je vous invite à visionner si vous voulez comprendre le prochain et dernier épisode) est très courte, l’article par contre vous demandera du temps (pour les voir, c'est ici).
Soit vous êtes pressée (e) et alors ne le lisez pas (ce qui ne vous apportera rien), soit vous décidez d’accorder un peu de temps et de réflexion à un partage qui peut participer à votre positionnement artistique (et même à une réflexion sur votre démarche si vous exposez vos créations).
Nous reviendrons plus tard à notre jolie randonnée de la « parabole de Liaucous », mais voici pour le moment, à l’occasion du lancement de mes prochains stages « aquarelle et ambiances de neige », la publication d’une petite démo-minute aquarelle où nous réalisons une cabane enneigée :
C’est un exercice rapide et amusant pourvu qu’on en connaisse « les petits secrets », l’un des touts premiers réalisés lors des prochains stages « Aquarelle et ambiances de neige » que j’animerai début mars en Jura oriental, où il reste des places, et où vous pouvez encore vous inscrire (des sortes de cours particuliers, vu le nombre de stagiaires qui y participent) !
Il vous suffit pour cela de m’en demander les conditions en cliquant sur le bouton ci-dessous :